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Comment optimiser votre rentabilité malgré le plafonnement des loyers ?

Le plafonnement des loyers est un défi majeur pour les propriétaires-bailleurs dans 69 villes françaises, en vigueur jusqu'en novembre 2026. Vous vous demandez comment maintenir une rentabilité satisfaisante malgré ces contraintes ?
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Rentabilité immobilière

Le plafonnement des loyers concerne actuellement 69 villes françaises et cette mesure sera expérimentée jusqu'en novembre 2026. Face à cette réalité, vous vous demandez probablement comment maintenir une rentabilité satisfaisante pour vos investissements immobiliers ?

En effet, l'encadrement des loyers vise principalement à contenir la hausse des prix et à préserver la mixité sociale dans les centres urbains où la tension immobilière est forte. 

À Paris notamment, les locataires ont économisé environ 1700 € par an entre juillet 2023 et juin 2024 grâce à cette limitation. Cependant, pour vous, propriétaire-bailleur, cette mesure représente un défi majeur, d'autant plus que les loyers encadrés concernent des zones où la demande dépasse largement l'offre disponible. 

Par ailleurs, cette régulation intervient dans un contexte où les revenus des ménages sont déjà fortement sollicités, avec des loyers représentant souvent plus de 30% de leurs ressources disponibles.

Malgré ces contraintes, il existe des stratégies efficaces pour optimiser votre rentabilité tout en respectant le cadre légal. Ce guide vous propose des solutions concrètes pour adapter votre approche d'investissement face à cette limitation de hausse des loyers.

 

Comprendre le cadre du plafonnement des loyers

Pour bien naviguer dans l'environnement du plafonnement des loyers en France, il est essentiel de comprendre son cadre juridique et ses mécanismes fondamentaux. Cette connaissance vous permettra d'anticiper les contraintes mais aussi de saisir les opportunités qui en découlent pour vos investissements.

Origine et lois clés (ALUR, ELAN, 3DS)

Le dispositif d'encadrement des loyers a connu plusieurs évolutions législatives majeures. Tout d'abord, la loi ALUR de 2014 a introduit cette mesure dans le but de lutter contre les pratiques abusives et de faciliter l'accès au logement dans les zones où le marché immobilier est particulièrement tendu. Ce premier cadre a ensuite été remplacé par la loi ELAN (Évolution du Logement, de l'Aménagement et du Numérique) du 23 novembre 2018, qui a instauré le plafonnement des loyers à titre expérimental pour une durée initiale de cinq ans.

Par la suite, la loi 3DS (Différenciation, Décentralisation, Déconcentration et Simplification) du 21 février 2022 a prolongé cette expérimentation jusqu'au 25 novembre 2026. Cette extension de trois ans permet d'évaluer plus efficacement les effets du dispositif, compte tenu notamment des délais nécessaires à sa mise en place et de l'impact de la crise sanitaire. Par ailleurs, cette même loi a également rouvert le délai de candidature pour les collectivités souhaitant rejoindre l'expérimentation jusqu'au 24 novembre 2022.

Zones tendues et loyers encadrés

Les zones tendues sont définies comme des "zones d'urbanisation continue de plus de 50 000 habitants où il existe un déséquilibre marqué entre l'offre et la demande de logements". Ce déséquilibre se caractérise notamment par des loyers élevés, des prix d'acquisition importants ou un nombre élevé de demandes de logement social par rapport aux emménagements annuels. Actuellement, plus de 1 000 communes françaises sont classées en zone tendue.

Néanmoins, l'encadrement des loyers ne s'applique pas automatiquement à toutes ces communes. En effet, seules les collectivités volontaires peuvent demander à mettre en place ce dispositif sur tout ou partie de leur territoire, sous réserve d'être en zone tendue et de disposer d'un observatoire local des loyers. 

Début 2025, on dénombrait 9 territoires, soit 69 villes, appliquant l'encadrement des loyers. Parmi elles figurent notamment Paris (depuis juillet 2019), Lille (depuis mars 2020), Lyon et Villeurbanne (depuis novembre 2021), ou encore Bordeaux et Montpellier (depuis juillet 2022).

Dans ces zones, le préfet fixe chaque année par arrêté trois indicateurs : un loyer de référence médian, un loyer majoré (supérieur de 20% au loyer médian) et un loyer minoré (inférieur de 30%). Ces valeurs varient selon le secteur géographique, le type de logement, le nombre de pièces et l'époque de construction.

Objectifs initiaux du dispositif

Dès son origine, l'encadrement des loyers a été conçu comme une mesure à la fois sociale et régulatrice. Son premier objectif vise à soulager les ménages locataires en limitant les hausses de loyer, notamment dans les grandes agglomérations où ceux-ci atteignent fréquemment plus de 30% des revenus des ménages, un niveau considéré comme une "surcharge logement" par l'INSEE.

En outre, ce dispositif cherche à préserver le pouvoir d'achat des locataires et à garantir des loyers en adéquation avec les revenus locaux. Il cible particulièrement les petites surfaces souvent louées à des publics précaires comme les étudiants ou les foyers modestes. Les défenseurs de cette mesure la considèrent comme une réponse nécessaire face à un marché qui "ne s'autorégule plus" et où il faut "faire prévaloir l'intérêt général" en matière de logement abordable.

Par conséquent, l'encadrement des loyers tente d'enrayer la gentrification de certains quartiers en évitant l'exclusion des ménages modestes, tout en contenant les prix dans un marché où la raréfaction des biens disponibles engendre mécaniquement une augmentation des loyers.

 

Quels impacts sur la rentabilité locative ?

Le dispositif d'encadrement affecte directement votre capacité à générer des revenus locatifs. Voyons comment cette mesure influence votre rentabilité et quelles sont ses conséquences concrètes sur le marché immobilier.

Limitation de la hausse des loyers

L'encadrement des loyers restreint considérablement votre liberté de fixation des prix. En tant que propriétaire, vous ne pouvez plus ajuster votre loyer selon la demande du marché ou en fonction des rénovations effectuées. Vous devez désormais respecter les plafonds fixés par la préfecture, ce qui peut s'avérer frustrant, particulièrement si vous proposez un bien entièrement rénové dans un quartier recherché.

Concrètement, si vous aviez prévu de louer votre bien à 700€ et que la réglementation vous impose un loyer de 500€, cela représente une perte annuelle de 2 400€. À Paris, une étude économique de l'Atelier parisien d'urbanisme (APUR) a conclu que l'encadrement des loyers permettait aux locataires une économie moyenne de 64€ par mois, soit 768€ sur une année. Cette somme représente directement un manque à gagner pour les propriétaires.

Évolution des revenus des ménages

En 2017, les ménages consacraient en moyenne 19,7% de leurs revenus à leur logement. Ce taux d'effort est néanmoins significativement plus élevé pour les locataires du secteur privé (28,6%) que pour les locataires du secteur social (24,1%). Entre 2001 et 2013, ce taux a augmenté pour l'ensemble des ménages, particulièrement pour les locataires du secteur libre (+4,8 points).

Par ailleurs, depuis 30 ans, les revenus des locataires évoluent moins rapidement que ceux de la moyenne de la population. Entre 2005 et 2011, le revenu avant impôt des propriétaires a augmenté de 2,8% par an, contre seulement 1,2% pour les locataires du secteur privé. Cette disparité croissante explique en partie pourquoi le plafonnement des loyers a été instauré, toutefois elle impacte également la rentabilité de vos investissements.

Taux de non-conformité et sanctions

En 2024, 37% des annonces de biens à louer ne respectent pas l'encadrement des loyers à Paris et en Seine-Saint-Denis. La situation est particulièrement préoccupante en Seine-Saint-Denis avec un taux de non-conformité atteignant 47%, tandis qu'à Paris, ce taux est de 29%.

On constate néanmoins une meilleure conformité pour les logements loués vides (70%) par rapport aux locations meublées (56%). De même, les professionnels respectent davantage ce dispositif (70%) que les particuliers (57%).

Pour les annonces non conformes, il est réclamé en moyenne au locataire un surcoût mensuel de 159€, soit 1 908€ par an. Dans certains cas extrêmes, un studio de 20 m² peut être loué à 1 300€ alors que le plafond est de 642,50 €, représentant un surcoût annuel de 7 890€.

En cas de non-respect, vous vous exposez à une amende pouvant atteindre 5 000€ pour une personne physique et 15 000€ pour une personne morale. En outre, vous pourriez être contraint de rembourser les trop-perçus au locataire.

Effets sur la mobilité résidentielle

L'encadrement des loyers produit également des effets sur la mobilité résidentielle. Les locataires, une fois installés dans un logement à loyer encadré, ont peu d'incitation à déménager. Cela fige la structure du parc locatif, ralentit les rotations et freine l'ajustement entre besoins et disponibilité de logements.

Face à cette situation, certains propriétaires retirent leur bien du marché locatif. D'autres choisissent des alternatives : location meublée touristique, vente du bien ou occupation personnelle. Ainsi, des logements autrefois proposés à la location classique sortent du marché, particulièrement dans les zones déjà tendues.

Enfin, avec l'augmentation des charges fiscales (dont la taxe foncière), des charges de copropriété, d'énergie et d'assurance, votre rentabilité peut passer sous le seuil d'acceptabilité, rendant l'investissement locatif moins attractif.

Les stratégies d’adaptation des investisseurs

Face au plafonnement des loyers, plusieurs stratégies permettent de préserver votre rentabilité. Contrairement aux idées reçues, ce dispositif n'empêche pas d'investir judicieusement dans l'immobilier locatif.

Choisir des villes à forte demande locative

Malgré l'encadrement, certaines zones offrent encore d'excellentes perspectives. Privilégiez les villes universitaires où la demande étudiante reste soutenue toute l'année. Par ailleurs, les villes moyennes non soumises au plafonnement peuvent présenter des rendements supérieurs à 6%, contre 3 à 4% dans les métropoles avec des loyers encadrés.

L'analyse de la tension locative est essentielle avant tout investissement. Étudiez attentivement :

  • Le taux de vacance locative (idéalement inférieur à 5%)

  • Le délai moyen de relocation (moins de 30 jours indique une zone dynamique)

  • La diversité économique locale (moins sensible aux crises sectorielles)

En outre, certaines collectivités proposent des aides à la rénovation qui peuvent compenser partiellement les effets du plafonnement. Renseignez-vous auprès des services d'urbanisme locaux.

Miser sur la stabilité des locataires

Un locataire de longue durée représente un atout considérable. D'abord, vous évitez les périodes de vacance locative qui coûtent en moyenne 2,5 mois de loyer par changement de locataire entre remise en état et recherche. Ensuite, vous réduisez les frais d'agence et de gestion récurrents.

Pour favoriser cette stabilité, considérez d'appliquer volontairement un loyer légèrement inférieur au plafond autorisé. Cette approche augmente significativement votre vivier de candidats qualifiés et réduit les risques d'impayés. Par conséquent, votre rentabilité nette s'améliore sur le long terme grâce à la réduction des risques et des coûts associés.

Néanmoins, soyez vigilant lors de la sélection initiale. Vérifiez minutieusement les garanties financières et privilégiez les dossiers solides, quitte à accepter un loyer modéré mais sécurisé.

Optimiser la fiscalité des revenus locatifs

La fiscalité constitue un levier majeur d'optimisation. Le choix entre régime micro-foncier et réel peut considérablement affecter votre rendement net. Pour les petits patrimoines, le micro-foncier avec son abattement forfaitaire de 30% reste souvent avantageux.

Toutefois, dans les zones à loyers encadrés, le régime réel prend tout son sens puisqu'il permet de déduire intégralement les charges, notamment les travaux d'amélioration. Ainsi, vous pouvez compenser la limitation des loyers par une réduction substantielle de l'assiette imposable.

Le passage en société civile immobilière (SCI) mérite également votre attention, particulièrement avec l'option à l'impôt sur les sociétés qui offre des taux d'imposition potentiellement plus favorables pour les revenus réinvestis. Cette structure facilite également la transmission patrimoniale.

Finalement, considérez le dispositif Denormandie dans l'ancien, applicable dans les villes moyennes hors zones tendues, qui offre une réduction d'impôt pouvant atteindre 21% du montant investi en contrepartie d'un engagement de location à loyer modéré.

Améliorer la valeur du bien malgré les plafonds

Malgré les restrictions imposées par le plafonnement des loyers, plusieurs options s'offrent à vous pour valoriser votre bien immobilier et maintenir une rentabilité satisfaisante.

Rénovation énergétique et bonus de loyer

La performance énergétique représente désormais un critère déterminant pour votre bien locatif. Depuis 2023, un logement doit avoir une consommation d'énergie finale inférieure à 450 kWh/m²/an pour être considéré comme "décent". Cette exigence s'intensifiera progressivement, avec l'obligation d'atteindre au moins la classe F en 2025, puis la classe E en 2028, et enfin la classe D en 2034.

Pour financer ces travaux, MaPrimeRénov' constitue une aide précieuse qui peut couvrir jusqu'à 90% du montant de votre rénovation d'ampleur, dans la limite de 70 000€. De plus, les propriétaires aux revenus modestes peuvent bénéficier d'une avance de 70% du montant de la prime.

En réalisant ces améliorations, vous pouvez légitimement augmenter le loyer entre deux locataires. En effet, si vos travaux d'amélioration représentent au moins 50% de la dernière année de loyer, vous êtes autorisé à augmenter le loyer annuel de 15% du montant TTC des travaux. Pour des travaux équivalents à une année complète de loyer, vous pouvez même fixer librement le nouveau montant.

Ajout de services ou équipements différenciants

Certains équipements peuvent justifier un complément de loyer au-delà du plafond réglementaire. Cependant, ce complément doit être motivé par des caractéristiques exceptionnelles.

Les éléments considérés comme recevables par la justice incluent :

  • Une grande terrasse ou un jardin

  • Une vue exceptionnelle sur un monument

  • Des équipements vraiment luxueux comme un sauna

  • Une hauteur sous plafond supérieure à 3,3m

En revanche, une cuisine équipée, une simple décoration soignée ou un petit balcon ne constituent pas des motifs valables. De même, aucun complément n'est applicable aux logements présentant des défauts comme une passoire thermique (DPE F ou G), une mauvaise exposition ou un vis-à-vis à moins de 10 mètres.

D'autres améliorations comme l'installation de panneaux solaires peuvent s'avérer particulièrement rentables. Un chauffe-eau solaire, par exemple, peut couvrir 50% à 80% des besoins annuels en eau chaude, réduisant ainsi les charges et rendant votre bien plus attractif.

Passage en location meublée ou colocation

La transformation de votre bien en location meublée ou en colocation représente une stratégie efficace face aux loyers encadrés. En optant pour le statut de Loueur en Meublé Non Professionnel (LMNP), vous bénéficiez d'avantages fiscaux considérables, notamment l'amortissement du bien et du mobilier, ce qui peut neutraliser l'impôt sur vos revenus locatifs pendant plusieurs années.

Par ailleurs, l'aménagement en colocation vous permet d'optimiser chaque mètre carré de votre bien. Un appartement transformé avec des espaces privatifs bien pensés et des parties communes conviviales attire davantage de locataires. Cette configuration peut également séduire d'autres investisseurs lors d'une éventuelle revente, contribuant ainsi à une plus-value intéressante.

Pour maximiser l'attrait de votre colocation, privilégiez des équipements de qualité : connexion internet haut débit, électroménagers fiables et rangements intelligents. Ces améliorations, même modestes, augmentent significativement la valeur locative tout en justifiant un loyer plus élevé.

Anticiper les évolutions réglementaires

L'expérimentation du plafonnement des loyers prendra fin en novembre 2026, créant une incertitude pour les propriétaires-bailleurs. Anticiper les changements législatifs devient ainsi essentiel pour sécuriser vos investissements.

Scénarios possibles après 2026

Le gouvernement a mandaté deux chercheurs pour évaluer l'impact du dispositif, avec un rapport attendu avant mai 2026. Cette étude analysera principalement deux aspects cruciaux : l'impact sur l'accès au logement et les conséquences sur la disponibilité des logements locatifs. Par ailleurs, une forte mobilisation des élus locaux et des fondations œuvre déjà pour prolonger et élargir le dispositif. Certains réclament même un renforcement des contrôles et des sanctions.

Suivre les propositions de loi en cours

Une proposition de loi relative à la pérennisation du dispositif d'encadrement des loyers a été déposée à l'Assemblée nationale le 24 juin 2025. En effet, cette initiative législative vise à transformer l'expérimentation en dispositif permanent, sans date butoir. Parallèlement, la commission des affaires économiques a lancé une mission d'évaluation dont les conclusions sont attendues en septembre.

Adapter sa stratégie à moyen terme

L'avenir du dispositif dépendra largement des équilibres politiques. Ainsi, vous devez envisager différents scénarios pour vos investissements. Par conséquent, diversifier géographiquement votre patrimoine entre zones encadrées et non-encadrées devient primordial. De même, anticiper une possible généralisation du plafonnement en intégrant ce paramètre dans vos calculs de rentabilité future s'avère judicieux.

Conclusion

Face au plafonnement des loyers, vous disposez désormais de plusieurs stratégies efficaces pour préserver la rentabilité de vos investissements immobiliers. Certes, cette mesure impose des contraintes significatives, particulièrement dans les 69 villes concernées actuellement. Néanmoins, les opportunités restent nombreuses pour les propriétaires-bailleurs avisés.

La rénovation énergétique constitue sans doute votre meilleur allié. Non seulement elle permet de justifier des compléments de loyer, mais elle prépare également votre bien aux futures exigences réglementaires. Par ailleurs, la transformation en location meublée ou en colocation représente une alternative particulièrement rentable, tout en offrant des avantages fiscaux considérables grâce au statut LMNP.

L'optimisation fiscale demeure un levier essentiel dans votre stratégie globale. Le choix judicieux entre micro-foncier et régime réel, voire la création d'une SCI, peut significativement améliorer votre rendement net. Simultanément, la sélection minutieuse de vos locataires favorise la stabilité locative et réduit les risques d'impayés.

Quant à l'avenir du dispositif après 2026, la prudence reste de mise. La diversification géographique de votre patrimoine entre zones encadrées et non-encadrées vous protégera contre les fluctuations réglementaires. De plus, le suivi attentif des évolutions législatives vous permettra d'anticiper les changements et d'adapter votre stratégie en conséquence.

Finalement, malgré les défis posés par l'encadrement des loyers, votre capacité à innover et à vous adapter déterminera votre réussite. Les propriétaires qui sauront allier amélioration de la valeur intrinsèque de leurs biens, optimisation fiscale et anticipation réglementaire continueront à tirer leur épingle du jeu sur le marché locatif français. 

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